by Nacef Bouzguenda

L’immobilier à l’ère du digital.

septembre 7, 2021

Dans une ère axée sur la technologie, l’accélération de la communication via le support numérique fait que les agents ne peuvent ignorer la digitalisation de l’immobilier.

Selon une étude d’opinion way, les français sont d’ores et déjà très demandant de plus d’innovations technologiques et attendent plus de services digitaux. En effet 65% considèrent que les agences immobilières devraient davantage recourir aux outils digitaux.

La digitalisation du parcours métier de l’agent immobilier permet de poursuivre son activité même en période de crise sanitaire. Maintenant que les particuliers ont pris l’habitude, d’utiliser les outils numériques, le client devient de plus en plus engagé sur son projet et demandeur d’informations.

Le support en ligne doit intégrer le client notamment par des applications collaboratives et génératrices de confiance.

Ainsi, la digitalisation de l’immobilier passera par l’utilisation d’outils technologiques les plus innovants tout en intégrant le client pour instaurer une interactivité et la confiance.

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Digital et immobilier immobilier collaboratif

Le « Smart Data » un outil incontournable pour l’agent immobilier.

septembre 7, 2021

L’immobilier n’est pas différent de n’importe quelle autre industrie, en ce sens qu’il a été soumis à des changements spectaculaires au cours des 10 dernières années en raison de la montée en popularité d’Internet et l’exploitation du smart data.

Booster son business immobilier est en effet possible , faire recourt au Smart Data permet de faire le tri dans ces données et d’en garder que l’essentiel.

Au fur et à mesure que ces changements se sont mis en place, certains agents immobiliers se sont adaptés à l’exploitation des données immobilières.

l’expertise de l’agent immobilier prend tout son sens, dès lors qu’il s’appuie sur une data immobilière concrète et pertinente, le Smart Data issue du croisement de plusieurs sources pondérées d’une manière intelligente et adapté au marché.

Un agent immobilier a besoin de maitriser son sujet, gagner la confiance de son client, le faire participer aux différentes démarches.

L’approche Smart Data consiste à aller chercher les informations qui se dissimulent derrière plusieurs sources, pour en tirer des arguments précieux et convaincants.

L’enjeu est de permettre à ces experts métiers de :

-Ne pas gaspiller leur temps et leurs ressources sur une analyse de données qu’ils ne maîtrisent pas.

-Rendre ces dernières actionnables dans le cadre d’opérations spécifiques e personnaliser et de contextualiser l’analyse de données.

-D’être plus réactif dans les prises de décisions,

La « Smart Data » basée sur les big data et l’intelligence artificielle est devenue l’outil incontournable pour bien comprendre le marché. La crise sanitaire a aussi permis aux agences de faire appel à des négociations à distance : visite virtuelle, conception 3D, mandat électronique, registre électronique et bien d’autres outils.

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L’immobilier du moyen âge à l’ère du low-cost.

septembre 26, 2021

En France, la profession d’agent immobilier a vu le jour au moyen-âge, le courtiers était la personne qui faisait de l’intermédiation entre acheteur et vendeur.

Ce n’est qu’au début du XIXème que ce métier a commencé à être reconnu.

L’introduction en 1913 de la notion de fonds de commerces, a poussé les professionnels à s’organiser en créant en 1921 la chambre syndicale des agents immobiliers de France.

En 1946, la FNAIM a regroupé tous les syndicats régionaux pour en faire une représentation nationale et organiser la profession.

En 1958, l’état a interdit aux agents immobiliers de percevoir des fonds, avances sur commission et séquestre, avant l’acte de vente du bien concerné.

La loi 1965 a scinde le métier en agents immobiliers et administrateurs de biens et a commencé à règlementer le secteur.

Le mandat devient obligatoire par la mise en place de la loi Hoguet du 21 janvier 1970 et le décret de juillet 1972.

A partir des années 2000, s’est développé d’abord le modèle franchisé puis les réseaux de mandataires de plusieurs milliers de négociateurs ou agents immobiliers.

Et comme dans toutes les professions ont a vu ,dans la dernière décennie , se développer les agences low-cost.

Ces nouveaux entrants parviennent à tirer les prix vers le bas, en effet, à la base ces derniers ne paient pas de pas de porte et arrivent à comprimer les frais de fonctionnement et réduire leur masse salariale.

Basées essentiellement dans les grandes villes et contrairement aux agences classiques, ces start-up ne prennent pas de commission sur une vente immobilière mais se rémunèrent au forfait .

La force de ces nouvelles agences c’est qu’elle sont 100% digitales et proposent donc des services exclusivement en ligne.

les agences low-cost ont cette capacité à trouver rapidement des solutions basées sur les nouvelles technologies: Smart Data , 3D et visite virtuelle en ligne , l’intelligence artificielle…

Leur objectif étant d’utiliser le web pour : recruter des mandats ,affirmer leur présence , proposer des solutions digitales performantes et une bonne expérience utilisateur .

Les agences immobilière classiques qui ont un fort potentiel humain et une longueur d’avance de part leur relation client gagneraient à revoir leurs stratégies digitales pour décrocher plus de mandats et comprimer leurs charges en évitant les taches chronophages.

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